Rencontre des plus stimulantes entre la députée de Repentigny, Monique Pauzé et Kim Lacombe, directrice régionale de l’est du Canada du FRDJ (anciennement la Fondation de la recherche sur le diabète juvénile). Lors de ce tête-à-tête, les deux femmes en ont profité pour parler de la maladie qui touche près de 70 000 personnes au Québec ainsi que du rôle de la députée bloquiste au sein du caucus multipartite sur le diabète juvénile – diabète de type 1 (DT1).
Pour ceux et celles qui l’ignorent, le diabète de type 1 (DT1) est une maladie auto-immune causée par l’attaque du système immunitaire qui détruit les cellules qui produisent de l’insuline à l’intérieur du pancréas. Contrairement au diabète de type 2, un surplus de poids, un manque d’exercice ou d’autres facteurs liés au style de vie ne sont pas liés au DT1. Il est impossible de prévenir cette maladie et ses causes ne sont pas encore entièrement connues.
La recherche de la FRDJ vise donc à améliorer la vie de toutes les personnes atteintes de DT1 et guérir cette maladie. Les objectifs de recherche de la FRDJ sont réalisés par le biais de projets regroupés dans trois domaines de base : guérison, traitement, prévention.
- Thérapies de guérison: rétablir la capacité d’une personne à produire de l’insuline et arrêter l’attaque du système immunitaire sur le pancréas;
- Thérapies de traitements: mettre au point de nouveaux dispositifs et traitements qui transforment les moyens dont disposent les personnes atteintes de DT1 pour soigner la maladie aujourd’hui de façon à les aider à vivre en meilleure santé maintenant et à l’avenir;
- Recherche sur les traitements préventifs: éviter aux générations à venir de développer le DT1 ou enrayer la maladie avant qu’elle ne cause des dommages au pancréas.