Journal de bord « Stockholm+50 : une planète saine pour la prospérité de toutes et tous – notre responsabilité, notre chance.
Une journée encore très intéressante à participer à plusieurs ateliers : économie circulaire pour s’opposer à l’économie linéaire qui génère tellement de déchets, la mode et ses nombreux impacts sur l’environnement, le plastique qui est un problème mondial et enfin un dernier atelier sur les liens entre crise humanitaire et crise climatique.
La crise environnementale se compare à la crise sanitaire de la COVID. Pendant la pandémie, toute la planète a participé pour faire une différence alors pourquoi est-ce qu’on ne fait pas de même avec la crise climatique? Sommes-nous conscients de l’urgence? Sommes-nous prêts à faire une différence?
Malheureusement notre modèle économique de croissance infini est insoutenable et ne tient pas compte de ses impacts sur l’environnement. Nous sommes en train de détruire les écosystèmes qui nous permettent de vivre. Il nous faut à tout prix revoir l’économie, la justice sociale et la coopération intergénérationnelle, cela devrait être une priorité.
Sur les 25 pays les plus touchés par les changements climatiques, 60% sont en conflit et aucune aide ne leur a été octroyée. C’est révoltant.
De plus, j’ai eu l’occasion de discuter avec des jeunes de la délégation canadienne. Ils sont passionnés et je me suis fait un devoir de leur expliquer le cheminement d’un projet de loi. Il faut être patient. Il est donc parfois mieux d’agir localement.
